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Saison théâtraleClick en Villeneuvois
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Agenda


Mardi 15 janvier


Conférence

Atelier des Savoirs : l'astronomie

Centre culturel J.-R.-Leygues

18h30

Animé par le GAP 47 (Groupe d’Astronomie Populaire)

L'astronome, penché sur des images surgies d'un passé de plus en plus lointain a sans cesse une idée en tête : de quoi demain sera-t-il fait ?
Nous continuerons d'explorer les enseignements anciens, les progrès actuels et les projets d'exploration du cosmos.

Au programme :
  • Les exoplanètes : Olivier Sabbagh
  • La vie extra terrestre : Pierre Valat
>>> voir le programme complet du cycle

Théâtre

L'Heure pâle

Théâtre Georges-Leygues

20h30

De Sylvain Levey, par la compagnie Le Bruit des Ombres

Théâtre

Mardi 15 janvier
20h30 au théâtre Georges-Leygues
À partir de 13 ans
Durée : 1 h 30
Tarif :


C’est l’hiver, il neige, la neige paralyse tout. Il n’y a plus d’électricité. Des quartiers entiers de Paris, de Stockholm, de Londres sont plongés quelques heures dans le noir. L’action se concentre autour d’un choeur et de quatre personnages : Delphine, infirmière dans le service public, son mari Benoît, responsable logistique dans une entreprise de surgelés, Christopher, leur fils, qui veut créer sa propre chaîne Youtube, et Lizaveta, la voisine du dessous, étudiante russe à Sciences Po.
L’Heure pâle est un texte choral, entre le roman et le format série qui parle de cette heure entre deux, entre la fin d’un monde et le début d’un autre. Il interroge la schizophrénie de nos sociétés occidentales contemporaines. Il peut être vécu comme un rêve ou un cauchemar, tout dépend de l’axe du regard.
À l’heure de la révolution numérique, la compagnie Le Bruit des Ombres avait envie de questionner la liberté de l’homme face à la technique, son rapport à la nature en se replongeant dans les oeuvres de deux penseurs visionnaires du siècle dernier : Jacques Ellul et Günther Anders.

Mise en scène : Vladia Merlet
Assistante à la mise en scène : Merlène Dronne
Écriture : Sylvain Levey
Environnement sonore et musique : David Cabiac
Création lumière : Véronique Bridier
Dramaturgie plurielle : Lucie Hannequin
Scénographie et construction : Coline Hateau et Vincent Lahens
Chorégraphie : Sylvie Balestra
Accessoires et jeu des masques : Polina Borisova
Masques : Loïc Nebreda
Costumes : Coline Hateau
Photo : LBDO
Chargée de production, diffusion : Florence Loulier
Distribution : Daniel Blanchard, David Cabiac, Vincent Lahens, Messaouda Sekkal, Ania Svetovaya
Production : le Bruit des Ombres
Coproduction : Adami, Drac Nouvelle-Aquitaine, Oara, Conseil départemental 47, Spedidam, Théâtre Ducourneau d’Agen (47) Théâtre Georges-Leygues de Villeneuve-sur-Lot (47), Espace d’Albret de Nérac (47)
Le texte a bénéficié d’une bourse à l’écriture dramatique de l’Oara.

Conférence

L'Afrique sous Donald TRUMP

Centre culturel J.-R.-Leygues

14h30


Par Christian BOUQUET, Professeur émérite de géographie politique, chercheur au laboratoire LAM de Sciences Po. à Bordeaux

Avant l'élection de Donald Trump, Les Etats-Unis d' Amérique se montraient déjà relativement sélectifs dans leurs relations bilatérales avec les Etats africains, notamment en matière économique.

Les ingérences militaires se faisaient plutôt discrètes. Plus insistantes étaient les injonctions américaines en faveur des " alternances ", rappelées notamment par Barak OBAMA; mais il s' agissait de postures et globalement les USA semblaient peu intéressés par le continent africain. Le reproche en fut d' ailleurs souvent fait à son premier Président noir.

Avec l'arrivée au pouvoir de Donald TRUMP, l'Afrique risque non seulement d'être encore plus négligée, mais également pénalisée par les choix économico-idéologiques du nouveau locataire de la Maison Blanche. il y aura d'abord le manque à gagner du" Fonds Vert pour le Climat", pour lequel les Etats signataires de " l'Accord de Paris " avaient promis de provisionner 100 milliards de dollars par an, essentiellement destinés aux pays africains pour les aider à réduire et à s'adapter aux impacts du changement climatique. Il y aura ensuite les réductions de crédit aux ONG humanitaires dès lors qu' elles visent des objectifs bannis par le nouveau Président ( limitation des naissances, défense des minorités, voire des droits de l'homme). Enfin la fermeture des frontières états-uniennes aux produits étrangers et surtout aux immigrants, notamment musulmans, risque de tendre bon nombre de relations bilatérales.

Par conséquent les cartes seront inévitablement rebattues entre les puissances qui s'intéressent au continent africain. Certes, les USA continueront à rechercher les matières premières, mais la faiblesse des cpntreparties risque de crisper les partenaires. Le 21 è s ne sera donc pas américain en Afrique, mais plutôt chinois ou marocain...A moins qu'il ne soit tout simplement africain !

www.utlvilleneuvois.com


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