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VOIRIE CADRE DE VIE
COUP DE JEUNE
POUR 36 RUES LES TRENTE-SIX VOIES CONCERNÉES

TRAVAUX Une vaste opération Rues des Cadets de Gascogne, des Pavillons, Alain,
de la Maladrerie, des Peupliers, Molière, des Lilas,
de rénovation de voies vient d’être de Coquard, Alphonse-Daudet, des Pyrénées, du
Pesquié, Albrespic, Sabine-Sicaud, Paul-Froment,
engagée. De l’entretien courant Georges-Guynemer, du maréchal Juin, de la Villa
Romaine, de la Jurade, du Verger, Maurice-Ravel,
mais néanmoins nécessaire, de la Chapelle, des Chardonnerets, Lunéville, du
Barrage, François-Arago ; les chemins Anglade, de
qui devrait être achevé cet été. Plaisance, de Monfabès, de Ménautous, Pechcaillou ;
l’allée d’Artagnan ; les parkings de la chapelle des
Avec ses 8 200 hectares, Villeneuve est la ville la Pénitents Blancs et Clémenceau, l’accès du Centre
plus étendue du département. Elle ne compte pas Technique Municipal et la place de l’amiral Courbet.
moins de 240 kilomètres de rues et routes, dont
80 relèvent de la compétence communale. C’est
ce grand linéaire que la Ville s’emploie à entretenir, avec un
planning annuel réfléchi. Cette année, trente-six rues vont
en bénéficier (voir ci-contre). « Il s’agit de la réfection totale
du revêtement des chaussées », indique Gérard Régnier,
adjoint au maire chargé, entre autres, des travaux. « Cet
entretien régulier est indispensable pour réparer l’usure liée
à la circulation et aux intempéries. Indispensable aussi pour
soigner notre cadre de vie, et renforcer la sécurité routière ».

Les différentes rues inscrites au programme ont été
repérées par les services techniques ou signalées par les
riverains par le biais du service des relations citoyennes,
avant d’être étudiées en commission. Leur réfection est
effectuée par le service voirie de l’Agglomération. Depuis
mai, et jusqu’à la fin du mois, les équipes procèdent en
deux temps : première étape, la correction de la surface
de roulement par application de grave-émulsion. Passé un
délai de séchage obligatoire, le revêtement sera prêt pour
la deuxième étape consistant à recouvrir le revêtement
d’un enduit monocouche pré-gravillonné. Une fois sec, il
sera balayé pour ôter le rejet de gravillons et laisser place
nette. Un budget de 220 000 euros y est alloué.

Autre technique, autres lieux et autre mission pour le
« Blow patcher », cette machine à enrobés-projetés qui,
elle aussi, est déployée dans les quartiers. Louée par la
Ville, elle est destinée à la remise en état et la prévention
des ornières et nids de poule. La technique évite
les gros travaux et allonge la durée de vie d’un
revêtement abîmé. Au programme : des interventions

dans une trentaine de voies,
essentiellement situées dans les
quartiers, en zone péri-urbaine.
80 000 euros y seront consacrés.

Gérard Régnier,
adjoint à l’urbanisme
et aux travaux