Saison culturelle 2025 2026
LE RADEAU DE LA MÉDUSE

En 1818, Géricault démarre sa plus célèbre toile Le radeau de la Méduse et fait scandale autant sur le plan artistique que sur le plan politique. Il devient le maître du romantisme comme Hugo avec Les Misérables. Il critique la Restauration et son nouveau roi Louis XVIII. Grâce à une drôle de conférencière, Anne Cangelosi, découvrez les secrets de ce gigantesque tableau du Louvre qui choqua le monde et ébranla le trône. Revivez les bouleversements artistiques et politiques du début du XIXe siècle.
// Jeudi 13 novembre à 20 h - Théâtre Georges-Leygues
Comédie - Tout public - Durée : 1 h 10 - Tarif B : de 6 à 20 €
Marilu Production
Avec : Anne Cangelosi
Palme du meilleur spectacle du Festival d’Avignon 2024
Le Radeau de la Méduse est un tableau fascinant et complexe parce qu’il révèle plusieurs niveaux de lecture. À côté de la critique du colonialisme et de l’esclavagisme, Géricault dénonce les campagnes militaires de Napoléon. Le héros principal est vu de dos, et en plus, c’est un homme de couleur. C’est là où le tableau est follement politique. Au moment du Radeau de la Méduse, l’esclavage a été rétabli par Napoléon, donc c’est un tableau abolitionniste, mais d’une manière très subtile. Lorsque le tableau a été exposé au salon de 1819, où la critique était enfin libre après la dictature napoléonienne, aucun critique d’art n’a osé s’attarder sur le héros principal.
// Jeudi 13 novembre à 20 h - Théâtre Georges-Leygues
Comédie - Tout public - Durée : 1 h 10 - Tarif B : de 6 à 20 €
Marilu Production
Avec : Anne Cangelosi
Palme du meilleur spectacle du Festival d’Avignon 2024
Le Radeau de la Méduse est un tableau fascinant et complexe parce qu’il révèle plusieurs niveaux de lecture. À côté de la critique du colonialisme et de l’esclavagisme, Géricault dénonce les campagnes militaires de Napoléon. Le héros principal est vu de dos, et en plus, c’est un homme de couleur. C’est là où le tableau est follement politique. Au moment du Radeau de la Méduse, l’esclavage a été rétabli par Napoléon, donc c’est un tableau abolitionniste, mais d’une manière très subtile. Lorsque le tableau a été exposé au salon de 1819, où la critique était enfin libre après la dictature napoléonienne, aucun critique d’art n’a osé s’attarder sur le héros principal.
Extrait
Dernière modification : mercredi 03 septembre 2025